56% des salariés de la FPH subissent au moins 3 contraintes physiques dans leur travail
L’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) et la Direction de l’animation de la recherche des études et des statistiques (Dares) ont mis en ligne la quatrième édition de l’Insee Références « Emploi, chômage, revenus du travail », portant sur le marché du travail.
Parmi les résultats, un constat édifiant : les salariés de la fonction publique hospitalière (FPH) sont largement plus touchés par les contraintes et risques physiques et subissent une plus forte pression temporelle que ceux de la fonction publique territoriale (FPT), de la fonction publique de l’État (FPE) et du secteur privé.
1 parmi : rester longtemps debout, rester longtemps dans une posture pénible, effectuer des déplacements à pied longs ou fréquents, devoir porter ou déplacer des charges lourdes, subir des secousses ou des vibrations.
2 parmi : rythme de travail imposé par le déplacement automatique d’un produit ou d’une pièce, cadence automatique d’une machine, autres contraintes techniques, dépendance immédiate vis‑à‑vis des collègues, normes de production à satisfaire en une journée, demande extérieure, contraintes ou surveillances permanentes exercées par la hiérarchie.
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